Les Engagés
L’Europe est à un tournant de son Histoire, confronté à la guerre, à une crise climatique et sociale sans précédent, nous devons remettre en cause la globalisation qui nous tire vers le bas et rétablir l’Etat Stratège.
C’est maintenant que doit émerger une puissance écologique et économique européenne assumée, capable de changer l’Histoire.
« Parce que je ne supporte plus de voir notre société foncer droit dans le mur….
Parce que c’est maintenant ou jamais que l’on doit faire émerger un autre modèle de société….
Parce que c’est au niveau européen que l’on peut changer le système, à la racine….
J’ai proposé ma candidature à Maxime Prévot, qui m’a fait l’honneur de sa confiance.
Je suis heureux de vous l’annoncer :
Je suis candidat pour porter nos combats au parlement européen ! » (Yvan Verougstraete)
Une vision claire a poussé Yvan à se lancer en politique :
Crises climatique, crise sociale, crise des finances publiques, explosion des maladies de longue durée… Malgré les promesses, rien ne change.
Les politiques semblent incapables d’imposer une vision stratégique globale et de réguler le marché pour défendre un modèle de société + juste, + durable, + humain.
« Alors que nous devrions, plus que jamais, remplacer la main invisible du marché par la main, bien visible, des choix politiques, nos élus semblent désarmés » (YV) :
Pourtant, pour faire éclore « le monde de demain » auquel nous aspirons depuis longtemps, il faut dépasser l’indignation, la culpabilisation ou les solutions magiques et oser s’attaquer à l’origine systémique des problèmes :
L’Europe est à un tournant de son Histoire, confronté à la guerre, à une crise climatique et sociale sans précédent, nous devons remettre en cause la globalisation qui nous tire vers le bas et rétablir l’Etat Stratège. C’est maintenant que doit émerger une puissance écologique et économique européenne assumée, capable de changer l’Histoire. (YV)
Parce que nous ne pouvons ignorer que nous faisons partie d’un marché globalisé, si nous voulons relancer la « machine à progrès », il faut imposer un système dans lequel :
« Il n’y aura pas de transition écologique ou sociale aussi longtemps que le dumping permettra à certains de tirer avantage de leur tricherie. » (YV)
C’est dans cet esprit que je me battrai, par exemple, pour l’intégration du coût carbone dans le prix de tous les biens et services, où qu’ils soient produits. « Nous ne pouvons en effet continuer à nous focaliser uniquement sur nos émissions locales … Alors que nous vivons dans un système interconnecté où les entreprises, l’emploi et le capital se déplacent presque aussi vite que les émissions de CO2. » (YV)
2. Garantir l’autonomie européenne dans 5 secteurs stratégiques :
Le Covid nous a ouvert les yeux, la guerre en Ukraine fut un rappel douloureux… Aveuglée par un néolibéralisme qui nous promettait une interdépendance positive, l’Europe ne s’est pas suffisamment souciée de protéger son autonomie, qu’elle soit (1) énergétique, (2) numérique, (3) industrielle, (4) en matière de santé ou (5) de défense.
Certains grands projets ont été lancés pour essayer de remédier à ce problème (Repower EU, EU4Health, etc.), mais il faut aller beaucoup plus loin, beaucoup plus vite !
Nous plaidons pour la mise en place d’une stratégie industrielle cohérente et volontariste afin de garantir l’émergence de champions européens dans tous les secteurs stratégiques. En tenant compte de la dynamique d’un marché où la concurrence est réelle, nous devons :
« Pour garantir l’avenir, notre autonomie et le bien-être de la populations, L’Europe doit redevenir un continent d’inventeurs, de producteurs et non pas seulement de consommateurs » (YV). L’Europe doit mettre en place le cadre nécessaire pour que les entrepreneurs puissent réimplanter des usines et revaloriser le travail.
3. Faciliter une politique d’investissement ambitieuses pour relever le défi climatique et améliorer l’efficience de l’économie européenne
Il est urgent de développer une politique d’investissements plus ambitieuse, que ce soit dans les infrastructures ou dans la recherche et développement, et d’en faciliter le financement.
Les pays qui ont le plus rapidement investi dans les voies ferrées, les canaux ou dans le réseau énergétique lié au charbon ont gagnés la révolution industrielle. De même après la Seconde Guerre, le progrès s’est accéléré au même rythme que l’installation des réseaux routiers ou électriques.
Une fois de plus, pour réussir le tournant de la transition, il va falloir investir dans les réseaux de transport verts et partagés – comme p.e. dans un réseau ferroviaire européen capable de concurrencer l’avion – et dans des réseaux de transport d’électricité, de capture et transport de CO2 ainsi que de transport d’hydrogène performants !
Pour financer ces investissements colossaux, il nous semble indispensable de travailler sur 2 axes :
Nous sommes à un moment de bascule, les prochaines années doivent enfin permettre l’émergence d’une Europe politique assumée et positive aux répercussions énormes pour la vie de tous les jours des citoyens, aujourd’hui et demain.
Notre député européen répond dans les colonnes de La Libre
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