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Yvan

Moi, c’est Yvan Verougstraete… mais, Yvan, c’est très bien !

Je suis un citoyen, comme vous. Je suis un entrepreneur, inquiet pour l’avenir de ses enfants. Mon moteur, c’est créer, rassembler, entreprendre, pour relever les défis que je me suis fixés, même si ça semble impossible…Face aux crises que l’on traverse aujourd’hui, j’ai décidé de tout lâcher pour passer de la critique à l’engagement.

Je veux apporter ma vision, mon énergie et mon expérience pour participer à l’émergence d’un autre modèle de société, plus durable, plus juste et plus humain.

Vous vous demandez peut-être qui est ce « Manager de l’Année » qui a décidé de se lancer en politique ?

En quelques phrases et exemples, vous trouverez ci-après les premiers éléments de réponse.
Envie d’en savoir plus ? N’hésitez pas à venir à un évènement organisé dans les prochains mois, rien ne remplace en effet une rencontre « les yeux dans les yeux ».

Impossible ? Chiche !

Petit déjà, on me classait parmi les « casse-cou ». Sur mes rollers ou mon vélo, dans la cour de l’école, sur le terrain de foot ou dans le quartier, j’aimais tenter l’impossible, tester les limites avec ma bande de potes. Parfois, j’ai dû en assumer le prix, avec quelques fractures à la clé.
Depuis, je n’ai pas changé.

Que ce soit en sport, dans la vie privée ou au boulot, j’essaye de donner le meilleur de moi pour réaliser ce en quoi je crois.

C’est pour cela que je suis devenu entrepreneur, c’est pour cela que quand on m’a dit que créer Medi-Market était impossible, cela m’a encore plus motivé…

C’est pour cela qu’aujourd’hui, je veux m’engager, même si certains pensent que « c’est foutu ».

C’est pour cela que j’ai décidé d’être tête de liste à l’Europe même si certains prédisent que ce sera un siège difficile à gagner.

Yvan Medi

Oser et rester passionné…

Si je dois retenir une chose de mon passage à la Vlerick Business School, berceau de l’entrepreneuriat flamand, c’est que pour avancer, il faut d’abord OSER…

Et c’est ce que j’essaye de faire depuis. Tout au long de ma carrière, j’ai refusé de me faire enfermer dans le confort d’une cage dorée, je ne peux donner le meilleur de moi-même que si je suis passionné et que je crois en ce que je fais.

C’est pour cela que je m’étais fait une promesse en rentrant chez McKinsey: le jour où je passe ‘senior’, je démissionne. C’est ce que j’ai fait, 3 ans plus tard, le jour-même de ma nomination… On m’a pris pour un fou.

C’est pour cela que j’ai décidé de quitter mon poste de direction chez Delitraiteur quand l’actionnaire a refusé de créer un atelier de production de plats préparés… que j’ai donc décidé de créer moi-même ; ma première start-up.

C’est pour cela – et parce que je suis convaincu que personne n’est indispensable – que j’ai décidé de démissionner de chez TastyFood et de chez Medi-Market une fois que j’avais l’impression d’avoir donné le meilleur de moi-même, d’avoir transmis toutes mes qualités, mais aussi tous mes défauts.

C’est pour cela, enfin, que j’ai décidé de ne pas continuer ma vie d’entrepreneur, pourtant toute tracée. Face aux défis sociaux, économiques et environnementaux, ce n’était plus possible pour moi de poursuivre comme avant. Pour donner du sens à mon parcours, mon projet suivant devait participer d’une façon ou d’une autre à la construction d’un monde plus durable, plus juste et plus humain.

On survit à un cauchemar en cuisine.

J’ai toujours été convaincu qu’il fallait tomber pour apprendre… Je me suis pris de bonnes claques mais j’ai toujours essayé de garder mon sang froid, de me battre encore plus fort pour essayer de rebondir.

Que ce soit lors de la création de ma première entreprise, Divine Cuisine, lancée des étoiles plein les yeux. Assez vite… Tout est devenu un cauchemar. De grands moments de solitude pendant lesquels je me demandais comment j’allais payer les salaires de mes équipes. De la chaîne de production aux équipes de livraison, je partageais tout avec eux. Cela m’a permis d’apprendre mille métiers différents, à leurs côtés, solidaires dans le froid des frigos. Je ne pouvais pas les laisser tomber. Petit à petit, à force de détermination et de sacrifices, l’entreprise a pris de la vigueur, surmonté les épreuves et grandi jusqu’à assurer son avenir.

Que ce soit à l’ouverture du premier Medi-Market quand certains pharmaciens et fournisseurs ont organisé le boycott de notre magasin et lancé des dizaines de procédures judiciaires… Ce n’est que, parce qu’avec toute l’équipe, nous avons refusé de nous résigner, parce que nous étions convaincus que « rendre les médicaments plus accessibles avait du sens », que l’on a pu prolonger l’aventure et finir par trouver le moyen de sauter l’obstacle.

Yvan Entrepot

La réussite, c’est un peu de talent, pas mal de chance et beaucoup de sueur !

Seul, ça n’a pas de sens

Le succès d’une entreprise, c’est la réussite de tous ceux qui la font tourner au quotidien. Quand on m’a nommé « Manager de l’année » en 2019, c’était surtout la consécration d’une aventure collective et humaine.

Face à l’ampleur des défis sociétaux que nous devons relever, je ne pourrai évidemment rien faire tout seul. J’ai vite été séduit par la démarche du nouveau mouvement Les Engagés. J’ai retrouvé dans leur manifeste les mêmes ingrédients et valeurs qui animent ma réflexion personnelle. J’ai alors décidé de m’y investir et j’y ai été très bien accueilli.

 

Je suis fier aujourd’hui de porter les couleurs qui incarnent une nouvelle façon de faire de la politique. Je reste cependant convaincu que les partis ne sont pas des clubs de foot et que les électeurs ne doivent pas se comporter en « supporters ». Aucun parti n’y arrivera seul. Pour nous en sortir, nous allons devoir travailler ensemble au service du bien commun et pas seulement au profit d’un segment de la population. La polarisation du monde politique est une catastrophe silencieuse pour la démocratie. C’est un poison qui paralyse tout et nous mène droit dans le mur.

Equipe Yvan Medi Market

Maintenant que vous en savez un peu plus sur mon histoire et mon caractère, je vous invite à

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